Je n’en parle que trop peu par ici, bien trop peu, faute de place, faute de temps, mais tout de même. Il y a une passion qui me dévore plus que n’importe quelle autre, et depuis de nombreuses années.
Cette passion, née de doux moments de complicité avec mon Papa – lui même grand passionné -, a grandi avec la naissance de mes enfants.
La photographie, l’image, l’art de graver les instants précieux, du plus grand moment à la seconde inattendue, dans le temps. En garder une trace, pouvoir la revivre des années après, et la partager. La transmettre aussi.
Bref. Je pourrais me poser là et en parler des heures durant.
Des photos, j’en ai des milliers, vraiment. Des toutes moches sur le téléphone, des faussement jolies sur Instagram, des qui semblaient belles sur l’écran du compact mais qui sont moches une fois développées, des vraiment belles que je ne retrouve plus, des pas terribles esthétiquement mais chargées d’émotion, des superbes techniquement mais vides de sens, et puis parfois, au milieu de tout ça, des vraies jolies et chargées en émotion.Des photos que je n’imprime pas assez, que je me contente de stocker au hasard par ci par là, en me promettant qu’un jour je prendrai le temps de trier et ranger. Et ce jour n’arrive jamais. Où il arrive et une fois tout rangé, le Chef Mini fait tomber le disque dur qui les contenait.
Ou comment perdre 4 années de souvenirs en 2 millièmes de secondes.
Bref.
J’en rirai presque pour ne pas en pleurer. Ceci est une anecdote vraie, survenue en février dernier. Le cadavre du disque en question gît au fond de mon tiroir, espérant le miracle de la résurrection, on sait jamais, peut être qu’un jour… (d’ailleurs, si toi qui passe par là a une idée, je prends).
Donc. Tout ça pour dire que depuis cette triste mésaventure énorme catastrophe, j’essaye de m’acheter une conduite et de :
– trier, classer régulièrement
– multiplier les supports de stockage
– IMPRIMER les photos qui méritent de l’être.
J’imprime souvent en petit format, en me disant que je referai les meilleures en plus grand (et je le fais jamais).
Je me suis promise de faire des livres photos en plus de mes minis albums de scrapbooking (mais j’ai pas encore commencé).
Je me dis souvent qu’un jour ou l’autre je ferai faire une toile pour chaque chambre des enfants (et je l’avais jamais fait non plus).
Et puis, j’ai reçu il y a quelques temps une chouette proposition de la part d’un petit bonhomme carré tout rigolo : Monsieur Canvas.
Première réaction : Monsieur Canvas, qui c’est ça !?
J’avoue tout, quand j’ai lu Monsieur Canvas, j’ai pensé à… Du canEvas. Et j’ai pas compris pourquoi ce Monsieur là m’écrivait à MOI.
Et puis j’ai lu. J’ai mieux compris. Et j’ai sauté de joie.
Monsieur Canvas ne fait pas de canEvas, mais des photos. Enfin, il fait pas de photos pour dire vrai, il les imprime. Sur toile, très précisément.
Jusque là, dans ma réflexion, j’en étais là : « photo sur toile, c’est mignon, mais y’a plein de sites qui font ça ».
Et puis, j’ai cliqué, et je suis allée faire un tour dans l’univers de Monsieur Canvas, histoire de savoir s’il était différent des autres, et pourquoi.
Et donc voilà. Monsieur Canvas, déjà, il a une bonne tête (et une jolie moustache), et son site fait quand même davantage l’effet copain que l’effet site marchand. C’est plutôt chaleureux et accueillant, ça m’a surprise et j’ai aimé ça (je te laisserai aller voir les sites concurrents si tu veux malgré tout te faire ta propre idée).
Et puis, niveau impression sur toile, il a tout ça de différent :
– les toiles qu’il utilise sont 100% coton
– les châssis qu’il utilise sont 100% bois
– et surtout, il imprime et fabrique ses toiles en FRANCE, du côté de Dijon.
Ces 3 petits « trucs en plus » m’ayant conquise, je me suis lancée en quête d’une photo qui mériterait d’être imprimée en grand format.
Idéalement une photo du Micro-Bébé. Idéalement une récente.
J’ai pris des semaines à dire « faut que je fasse » « faut que je fasse », et j’ai pas fait. Un beau matin, j’ai fait quelques photos du Micro-Bébé, et je me suis lancée à commander.
Bon clairement, j’ai pas choisi mon meilleur portrait. Au lieu de toujours remettre à demain et faire les choses dans la précipitations, si c’était à refaire, je m’attacherai à prendre le temps d’être sûre de faire les choses correctement, et de prendre une photo coup de cœur, vraiment bien travaillée.
Là, sur le coup, j’avais que j’étais contente de ma photo. Après coup, je me dis que quand même, je devais pas être super bien réveillée quand je l’ai sélectionnée.
Mais bon.
N’empêche que, si moi j’aurai pu mieux faire, Monsieur Canvas lui, a assuré. J’ai même eu droit à une photo de ma toile en cours d’impression, en suivant le compte Instagram du petit bonhomme carré. Ca a l’air de rien, mais ce côté « artisanal en live » m’a beaucoup plu à dire vrai.
Et quelques jours plus tard, délicatement emballée, ma jolie toile était livrée… Un portrait carré de mon Micro-Bébé :
Bien sûr, d’autres formats sont proposés, du carré au panoramique, en passant par des petits « pêle mêle » de photos Facebook ou Instagram, ou par un découpage de toiles. Il est même possible, comme sur Instagram, de faire « filtrer » ses photos pour leur donner un effet type noir & blanc, sépia, plus chaleureux ou plus froid…
Tout ça pour un prix pas si élevé que ça (je m’attendais à des sommes astronomiques au regard de la fabrication artisanale en France et des matériaux utilisés). Ma toile par exemple, en 50*50cm, est à 55€ en finition mate, 70€ en finition brillante (au hasard à la FNAC, une toile 50*50 c’est minimum 59.90€).
Bref. Tout ça pour dire que, si je ne connaissais pas Monsieur Canvas avant, je suis ravie d’avoir découvert ce site qui se situe aujourd’hui parmi mes « coups de coeur« , pour la qualité qu’il propose bien sûr, mais aussi pour tous ces petits détails qui le rendent différent en plus d’être 100% artisanat français.
La marque est aussi présente sur Facebook et je crois que jusqu’au 30 septembre Monsieur Canvas fête sa rentrée avec un code promo…
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