Mini et la propreté… Les culottes d’apprentissage Huggies Pull-Ups

Avec la Maxi-Fille, je n’ai pas eu à me soucier de l’apprentissage de la propreté.

Un peu avant ses 2 ans, la nounou m’a interpellée sur le fait que pendant plusieurs jours, après chaque sieste, elle avait retrouvé la couche sèche. Du coup, elle avait commencé à l’emmener sur le pot avant la sieste, et à zapper la couche pour le dodo.

Comme l’expérience fonctionnait plutôt bien… Elle m’a demandé de lui fournir des couches culottes en lieu et place des couches habituelles, pour se pencher sur la propreté le reste de la journée, et faciliter le déshabillage en cas de pipi pressant.

La Maxi-Fille a super bien joué le jeu, en 3 jours l’histoire de la propreté diurne était réglée.
Et dans tout ça, à part pour lui ‘avoir acheté des couches-culotte, je n’ai absolument aucun mérite. Merci la nounou qui a super bien géré.

Ça me convenait bien, jusque là, en fait, de n’avoir jamais eu à me soucier de ça.

Je m’imaginais naïvement qu’un jour ou l’autre, il allait se passer la même chose avec le Chef Mini. Couche sèche après la sieste, on zappe la couche pour le dodo, et 3 jours plus tard hop hop hop, petit garçon deviendrait propre.Mais non en fait.

Le Chef Mini est plutôt du genre pas pressé j’ai l’impression. 2 ans et demi, et toujours les couches. Pourtant, il est capable de monter les escaliers « comme les grands », et il paraît que c’est un signe physiologique qui indique qu’il est physiquement capable d’accéder à la propreté. .
En tout cas c’est que c’est toujours lu et entendu.

Bon, force est de constater que, s’il est prêt physiologiquement, dans sa tête il doit l’être beaucoup moins.
Et pourtant, j’avoue, j’aimerais bien.

Certes, il n’entre pas encore à l’école cette année, et donc on n’a pas de limite fixée, pas de pression à se mettre pour une date limite d’acquisition de la propreté. Mais quand même.
Il est « grand » maintenant, il a quitté son costume de bébé pour celui de petit garçon, et j’aimerai bien ne plus avoir à le changer comme un bébé.

On a tenté de le laisser tout nu il y a quelques semaines – pied main bouche et fesses purulentes oblige -, ça a été un véritable fiasco, j’ai passé mon week-end à le suivre à la trace avec une lingettes désinfectantes à la main.

J’ai donc opté pour une autre stratégie, on propose le pot à des moments clés : avant / après la sieste, avant / après le repas, sans lui mettre la pression (s’il veut pas, il veut pas…), et on a abandonné les couches classiques pour des couches culotte, histoire de le motiver un peu, de le faire se sentir grand et de lui simplifier la vie – et la notre aussi – lorsqu’il demande le pot.

Pour l’occasion, Huggies nous a permis de tester ses couches-culottes d’apprentissage Pull-Ups, version garçon.

Version garçon, parce que dessus c’est CARS, que Mini ne connaît pas pour être tout à fait honnête, mais ça reste une « vachu » et comme il adore ça… Bha voilà quoi. Il est tout content ! Pour les filles, c’est rose, avec Cendrillon dessus.

Version Garçon

Version fille

Cette histoire de culottes, ça l’éclate bien, parce que c’est « comme les grands« . Comme sa grande soeur, s’il veut aller aux toilettes il n’a qu’à baisser / remonter sa couche – dans les faits souvent il se contente de la baisser et en fait on doit la changer -, sans passer par la case table à langer.

Bref, niveau enfant, c’est adopté. Les couches-culotte sont ludiques, pratique à descendre et remonter.

Côté parent, c’est toujours pratique à descendre et remonter, mais le gros plus, c’est que ça se scratche sur le côté, de manière à ce que, si la couche est pleine, le chouette parent – toi, moi, nous donc – ne se retrouve pas à descendre la couche, souiller ses blanches mains et toutes les jambes du môme par la même occasion. (Ce billet est répugnant, j’en conviens, désolée). Autre avantage, ces scratches sont, comme ceux placés à l’avant d’une couche classique, repositionnables, et la couche-culotte peut donc être ajustée parfaitement à la taille de l’enfant.

Autre petite chose au top, c’est que la Pull-Ups se présente en fait comme une couche « normale », en moins épais, mais avec la fameuse « barrière anti-fuites » que l’on connaît. L’enfant conserve sa liberté de mouvement, et on évite les débordements.
D’autant que l’on sait très facilement si la couche est mouillée ou non, pas besoin de l’enlever pour vérifier, puisque les dessins sur la couche s’effacent dès que celle-ci est mouillée.

Les Pull-Ups avaient déjà grandement aidée la nounou à accompagner Maxi-Fille vers la propreté, et vont donc reprendre du service avec le Chef-Mini. Bon, pas de suite tout de même, puisque pour le moment, sur les 3 jours où nous avons essayé, elles ont chaque fois fini mouillées. On repasse aux couches classiques pour le moment, et on réserve les Pull-Ups pour le temps où Monsieur Mini se sentira (enfin !) prêt.

Je crois que MiniBoy ne juge pas encore que c’est LE moment de devenir grand, ce qui ne me surprend qu’à moitié au fond étant donné l’arrivée récente de Micro-Bébé.

Bref, pour en revenir aux Pull-Ups, en résumé, on a aimé…

– Le côté ludique donné par les petits dessins de héros connus
– Le côté utile du dessin qui est en fait un indicateur d’humidité
– Les scratchs de côté qui permettent d’ouvrir la couche sans en mettre partout ET qui permettent aussi de l’ajuster à la taille de l’enfant (repositionnables comme sur une couche classique).
– La qualité Huggies en terme d’absorption.

On note quand même que…

– Pour être vraiment pratiques, il faudra troquer le body de l’enfant contre un duo t-shirt / culotte

– Et chez toi, la « propreté », étape facile, ou pas !? –