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28 octobre 2014 by Maëline

L’appel du ventre.

Il est temps. Je suis prête. Enfin, je crois.

Enfin, si. J’en suis sûre. Ou à peu près. J’ai toujours eu du mal avec les affirmations catégoriques, je suis de celles qui préfèrent ne jamais dire jamais. Après tout, on ne sait pas de quoi demain sera fait.

Mais quand même, ça y est. L’idée a fait son chemin, elle a mûri. Je l’ai acceptée.

Le coeur ou la raison, la raison ou le cœur, ou les deux. Les deux oui, c’est ça.

Ça ne semblait pourtant pas si évident. Il y a quelques mois encore, j’avais envie d’encore. Le cœur serré à l’idée de m’arrêter là.

Le mari était catégorique lui. Non, c’est tout, stop, terminé.
Alors secrètement, je rêvais. Encore un peu, pourquoi pas. Peut être que, d’ici quelques années.

Il y a de cela à peine 6 ans, je ne voulais pas d’enfant. C’est bien chez les autres. Ça pleure tout le temps.
2 ans et une Maxi-Fille plus loin, je ne voulais plus d’enfant unique. Il y en aurait un deuxième, c’est certain. Pour le « quand », la nature n’avait qu’à décider.
Et elle l’a fait, presque idéalement. 14 mois, c’est tôt, mais finalement, c’est bien aussi.

Y en aurait-il trois ? La question n’a pas eu le temps de se poser réellement. Le « non » sommeillait sans jamais avoir été prononcé. Deux c’est bien, trois c’est plus compliqué. Il y avait le boulot, l’achat du premier appartement, les petits encore petits. On n’a pas réfléchi à la question. La réponse s’est imposée.

Trois. On a eu peur, on a douté, hésité, puis fait le choix d’avancer.

Et à mesure que ce ventre s’arrondissait pour faire place à ce troisième bébé, alors que ma tête s’emmêlait entre joie et appréhension, mon corps refusait de se faire à l’idée. La dernière fois. Cette fois, c’est tout, fini, plus rien.
Cette troisième grossesse a eu la saveur particulière de ces instants volés, de ces moments dont on se délecte tellement on sait qu’ils ne reviendront jamais. Bonheur, nostalgie, amertume peut être même, sûrement. Je me suis délectée de tout, jusqu’au bout. J’ai presque été déçue de cet accouchement arrivé presque trop tôt, la barrière psychologique du mois de janvier alors que le terme était pour février.
Et dans ma tête ce compte à rebours incessant : les dernières caresses  à ce ventre rond, les derniers petits coups, le dernier monito, les dernières contractions. La dernière salle de naissance, les derniers échanges de regards tendrement mêlés de douceur et d’excitation.

Le dernier premier cri. La dernière nuit en chambre de maternité. La dernière première tétée. Le dernier tout. Cette pensée ne m’a jamais quittée.

A moins que. Pas encore sortie de ma chambre de maternité, j’en étais convaincue. Ça n’était pas possible, je ne m’arrêterai pas là. Ce nid douillet ne pourrait pas rester vide indéfiniment, pas comme ça. Il couverait encore un bébé, un jour, même si c’est « dans longtemps ».

Foutue nostalgie, fichues hormones qui me filaient les larmes aux yeux à peine ces derniers se posaient sur ce ventre tristement vide, flasque, moche. L’homme restait impassible. Non, jamais, il n’y aura plus de bébé. Terminé. Fini.
Recevoir ces mots comme autant de coups de couteaux. Se taire. Encaisser. Avoir envie de pleurer. Garder l’espoir secret qu’un jour il changera d’avis.

Il y a des tas de raisons qui nous poussent à agrandir encore la famille, ou au contraire à s’arrêter là. Elles peuvent être pratiques, financières, dictées par le cœur, par la carrière professionnelle. Elles sont souvent liées à notre propre construction, à notre bagage familial à nous, celui au sein duquel nous nous sommes nous-mêmes construit. Elles sont parfois difficiles à accorder dans le couple, et pourtant s’il est un point sur lequel il faut trouver un terrain d’entente, nul doute que c’en est un, et un très important.

Je ne m’étais jamais imaginée de configuration familiale idéale, avant. Je suis plutôt freestyle au quotidien, pour tout, et aussi pour ça. On verrait bien. Je n’en voulais pas qu’un, c’était sûr, certain. Je ne voulais pas d’une famille nombreuse non plus, j’étais d’ailleurs bourrée d’à priori à ce sujet. Mieux vaut en avoir un seul et pouvoir tout lui donner que 3, 4 ou 5 et devoir diviser, qu’il s’agisse d’amour ou des jouets.
Deux c’était bien. Et avec le mari, on était d’accord sur le sujet. Avant que Micro-Fille ne vienne tout chambouler.

Puisqu’elle était là maintenant. Que l’on avait basculé du côté des gens qui ont « plein d’enfants ». Quatre c’est bien aussi. Enfin, je sais pas. Pendant de longs mois, il y a eu cette certitude, cette obstination, cette presque obsession. L’appel du ventre, je crois que je pourrai appeler ça comme ça. Ce putain de vide qui fait mal, cette envie d’encore, de sentir la vie là dedans, de retrouver celle bulle de confort, cette plénitude, ce sentiment d’être utile à quelqu’un, de couver un trésor, porter l’exception. J’ai ce handicap pour moi, j’aime la grossesse, j’aime être enceinte. Je me suis chaque fois sentie bien, terriblement bien, sur un nuage, en dehors de tout, à l’abri de n’importe quoi. L’envie que ça ne s’arrête jamais. Se sentir juste bien.

Un combat de tous les instants. Contre mon mari, contre mon corps, contre ma raison.

Et puis finalement non. Je ne sais pas comment c’est arrivé. Les enfants grandissent. Micro-Bébé quitte peu à peu sa carapace de bébé. Mini s’éloigne des couches, la Maxi-Fille prend ses premières bribes d’indépendance.

Avec le mari on commence à se retrouver, à se redécouvrir même, je dirais. On retrouve quelques moments à nous, et il était temps, vraiment. Trois enfants en 4 ans, ça bouscule, évidemment.
Quand à moi, je rêve de reprendre le boulot, de retrouver mes responsabilités hors de la maison. Je ressens aussi le besoin de me retrouver, moi, en dehors de mon rôle de maman de 3 petits enfants. J’ai repris la photo, je me suis mise au sport. J’ai cette envie de refaire connaissance avec moi, le moi de maintenant, le moi qui a tourné la page de la future maman.

Physiquement, mentalement. La maternité m’a changée, forgée. J’aime assez ce qu’elle a fait de moi, alors je vais m’arrêter là. Sans regret.

Le silence.
L’appel du ventre se tait.
Lorsque je pense à lui, ce ventre justement, je ne pense à un doux ballon rond mais plutôt à chausser les running pour le raffermir et en être fière sur la plage l’été.

Je suis prête. Prête à ne plus vivre les grossesses que par procuration. Un sourire satisfait me gagne lorsque mes yeux se posent sur une photo de MON bidon rond. Un sourire satisfait, c’est tout. Plus d’amertume, ni même de nostalgie.

Lorsque je vois le ventre d’une amie s’arrondir, lorsque j’apprends l’arrivée d’un nouveau-né, je ne pense plus à moi ni à mon utérus. Je ne pense qu’à cette maman, à ce bébé, à cette famille, je pense à me poser un peu en retrait et observer, partager discrètement ce doux bonheur en souriant.

famille 3 enfants

Puis je les regarde eux. Les miens, ma tribu, mes 3.

Et je réalise qu’enfin, ça y est.

C’est ça, être au complet.

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Commentaires

  1. ribambellescrea dit

    28 octobre 2014 à 10:25

    Très jolie déclaration <3 pour une très jolie famille !
    Je comprends tes doutes. Je ne veux pas de 3ème enfant, et pourtant je ne ferme pas la porte ! Comme quoi !
    Sandrine

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  2. Ambroisine dit

    28 octobre 2014 à 10:42

    C’est très émouvant.

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  3. Alex Mamengagee dit

    28 octobre 2014 à 10:49

    Magnifique récit.
    L’important c’est aussi de se retrouver soi même, au delà même de sa tribu. Tu as une magnifique famille, profites de chaque moment passé avec elle.
    Ici je me pose même parfois la question s’il y aura un 2ème. Au fond de moi je pense que oui mais pas tout de suite. Je ne suis vraiment pas prête. J’ai trop peur de ne plus pouvoir gérer ma vie comme je le veux.
    Plein de bisous

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  4. blandinericard dit

    28 octobre 2014 à 11:08

    j’en suis encore loin de ce cheminement j’y étais à ma 3ème pourtant … et ma 4ème est arrivée par surprise et de nouveau tout bascule elle a 14 mois et j’avoue que je ne peux m’empêcher d’avoir un pincement au coeur qd je vois des ventres ronds je sais que ca ne m’arrivera plus j’ai mal à en crever a en pleurer pourtant 4 c’est bien je sais et mon homme est inflexible sur cela et il n a peut etre pas tort il faut les assumer aussi mais je n arrive pas … rien que de penser à ce « deuil » de grossesse en t’écrivant ‘en ai la gorge serrée … je suis admirative et envieuse que tu en sois arrivée la et que tu es fait ce chemin là ♥ j’espère en arriver la aussi bientôt …

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    • flotwinsandco dit

      28 octobre 2014 à 12:39

      Exactement ça… Puis 3 enfants mais deux grossesses… Une première magnifique pour mes jumeaux une seconde épuisante, extenuante puis 2 cesa avec complications… Envie de revivre ça prendre ma revanche pourquoi pas rêver à une fille, une voie basse…

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  5. flotwinsandco dit

    28 octobre 2014 à 12:35

    Très beau j ai justement écris sur ce sujet il y a peu « ses 1eres fois… Mes dernières  »
    3enfants en deux ans et demi même cheminement l envie de me retrouver ke poser professionnellement ( j suis actuellement en formation) mais à 26ans j arrive pas a passer ce cap de l acceptation… Tjs l espoir qu une fois posé pour mes 30ans par exemple le petit 4ème arrive, le pincement au coeur les larmes aux yeux à la moindre grossesse, accouchement etc…

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  6. Mummys little girl dit

    28 octobre 2014 à 13:28

    Piuf quel avancement…. Ici jai pas passé le cap jeme laisse encore une grossesse. Je ne peux me resoudre a ne plus jamais porter la vie. Mais je nai pas comme toi trois enfants a la maison.
    Quand cest dur mon mari me dit on fera pas de troisieme et je lui cherche tjs des excuses en disant oui mais tu verras il y aura plus despaces entre eux, elle seront deja independantes…etc.. On verra mais le deuil ici est loin detre fait

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  7. mamanendevenir dit

    28 octobre 2014 à 13:42

    C’est drôlement beau ce que tu écris, les mots que tu emploies, cet « appel du ventre » qui veut dire tellement. J’accueillerai mon deuxième garçon en février si tout se passe bien, et nous rêvons d’une famille nombreuse mon mari et moi. Je me demande si un jour j’arriverai à me dire, comme toi, « ça y est, nous sommes au complet ». Le deuil du ventre rond sera difficile pour moi je pense, l’idée que c’est la dernière fois me terrorise, c’est comme fermer la porte à tellement de possibles … Et pourtant, dans toute ma contradiction, et avec cette deuxième grossesse beaucoup plus difficile, je me demande si je serais capable d’aller jusqu’à 4 enfants, comme mon coeur me le dicte, parce que c’est vraiment dur, et que je crains de présumer de mes forces et de mes limites. Bref, ton article me touche beaucoup et résonne particulièrement en moi, alors merci … Te lire est vraiment agréable, j’aime énormément ta façon d’écrire !!
    Des bises !

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  8. maloé dit

    28 octobre 2014 à 14:12

    Très beau récit. Je suis en plein dans ce cheminement aussi. Bébé 3 grandit… C’est dur de se détacher de ses poussins. L’essentiel n’est pas le nombre d’enfant à avoir, mais de trouver son équilibre. Et toi tu y est arrivée on dirait, à ce point d’équilibre. Félicitations pour cette jolie famille et continue de nous faire partager tes tribulations encore longtemps.

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  9. Ines dit

    28 octobre 2014 à 15:19

    Un magnifique texte!!!Bravo!!

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  10. Kid Friendly dit

    28 octobre 2014 à 15:38

    Très joli billet.
    En même temps, à pas 30 ans, faut-il vraiment fermer la porte à jamais ? Vous avez tellement de temps encore pour changer d’avis… ou pas…

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  11. isalouise2012 dit

    28 octobre 2014 à 19:40

    c’est très beau et on passe toutes par là je crois… par toutes ces questions, toutes ces envies encrées au creux de notre ventre et de notre coeur… mais pas toutes au même « stade » puisque pour moi ce fut au bout de deux et je suis arrivée exactement à la même conclusion que toi, mot pour mot: « ça y est nous sommes au complet » bisous!

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  12. Mary dit

    28 octobre 2014 à 20:46

    C’est un magnifique billet, un de ces billets qui touchent vraiment.
    Si tu te sens bien comme ça alors je ne te souhaite rien de plus. Soyez heureux et plein de gros bisous.

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  13. Ma vie de maman (séverine wuillemier) dit

    28 octobre 2014 à 21:55

    ici on va s’arréter à 2, j’aurais aimé 3, mais je veux aussi laisser du temps au corps, et comme je vais avoir 34 ans en fin de semaine, je trouve qu »‘après c’est trop tard si j’attends quelques années, alors cette grossesse je la savoure à fond
    joli témoignage

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  14. Hélène dit

    28 octobre 2014 à 22:27

    ah la la la la la, je sais même pas quoi t’écrire en commentaires, tellement je suis bouleversé par ton billet. Je suis du genre à anticiper tout dans la vie, et après une magnifique première grossesse (j’ai le même handicap que toi), je sais d’avance qu’après la dernière (qui pour le papa serait la prochaine), je passerais par ces longs mois, cette lente sensation affamée qui vous prend au ventre et ne vous lâche pas l’esprit….
    Alors la seule chose que je vais te dire c’est MERCI!!!! parce que la fin de ton billet me redonne l’espoir, que ce sera possible dans le futur de ne plus ressentir ce que tu appelles si joliment l’appel du ventre.
    Et au passage encore MERCI MILLE FOIS pour ton blog!

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  15. Faites des gosses.....ou pas! dit

    28 octobre 2014 à 22:54

    Tout est dit….ou presque. Enfin mes mots, tes mots…c’est tellement tout ce que j’aurai pu écrire (mais en mieux)…. Sauf que moi j’en ai 2. « QUE » 2. Suis-je complète ? Je ne sais pas mais je semble avancer aussi…
    Là encore je ne trouve que des points communs. L’état de grossesse, la plénitude, les meilleures parties de ma vie…
    Je ne sais pas. Je crois que je me suis faite à l’idée que c’était fini. J’ai envie d’être femme à nouveau le plus souvent possible…mais, mais….et si mon choix n’était dicté que par contingence financière ? Serais-je dans ce même état d’esprit avec un poil plus de moyens ? …ne pas chercher à savoir surtout… Et avancer ;-)

    Merci pour cette belle lecture
    Biz

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  16. MissBrownie dit

    28 octobre 2014 à 22:58

    J’ai eu les mêmes questionnements que toi, mais contrairement à toi, j’avais toujours su que j’en aurais minimum 3.
    Chichi était un bébé tellement facile qu’un 4ème était tentant. Maintenant, il a 3 ans 1/2 et franchement, c’est bon, on s’arrête là ;)

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  17. Marie-Bé futée dit

    29 octobre 2014 à 23:15

    Très beau billet … très émouvant …

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  18. Bebechangelavie dit

    30 octobre 2014 à 00:36

    Magnifique récit, très émouvant. Moi qui n’ai vécu qu’une seule grossesse pour l’instant, je sais que je vais en avoir d’autres, tout du moins je l’espère, je pense quand même des fois à quand ce sera le dernier…

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  19. Taline (Aline_scrap) dit

    30 octobre 2014 à 20:40

    C’est très beau ce que tu écris.
    De mon côté j’ai craqué quand mon mari m’a dit « tiens au fait ton coussin d’allaitement tu vas le vendre ? » et moi de répondre « euh non pas la, je ne suis pas encore prête à m’en séparer » parce que ça rendrait officiel que c’est fini et avec ma 2nd grossesse j’ai un sentiment d’inachevé. Je sais qu’il n’y aura pas de troisième, je pense n’en avoir même pas l’envie mais il faut quand même tirer un trait et ici c’est pas encore le cas.
    Sinon, ta petite moyenne grande famille est toute jolie. Gros bisous à vous 5

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  20. tison dit

    4 novembre 2014 à 12:36

    Magnifique ce que tu as écris, je suis dedans et ressens tout ce que tu dis, j’ai mon bébé en moi, peut être aussi mon dernier, et je vais profiter de cette troisième grossesse avec bonheur, j’aime aussi être enceinte et à te lire j’ai le cœur serré de me dire que ce sera les derniers moments de tout, du ventre, de l’accouchement … Je me dis aussi comme toi que je veux me retrouver, mon corps, mon mari, une vie de femme qui est fort loin.

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Maëline

 


Trentenaire Rennaise qui ne court pas qu'après ses 3 mômes de 9, 7 et 5 ans.
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Maman trentenaire (+1) de 3 môme de 7, 5 et 3 ans, marraine comblée d'un p'tit d'octobre 2016, accro au running, au shopping et aux mojitos, passionnée de geekeries en tous genre et de photo, gourmande irrécupérable, pratiquant la ronronthérapie intensément... Ex-parisienne de retour dans sa terre bretonne, néo-Rennaise, breizh dans l'âme.
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